Commencer le sport après 40 ans, en tant que femmes ! C’est possible. J’en ai 42 et depuis plus d’un an j’ai trouvé mon rythme en allant 4 à 5 fois par semaine à la salle de sport. Une activité qui me permet d’associer le corps et l’esprit (bateau mais tellement vrai) et de voir son corps changer, devenir plus fort et plus en phase avec son mental. Dans cet article, je vais vous expliquer comment je n’ai pas lâché, comment je définie mes objectifs, et ce que je change au quotidien ?
Après la parution de mon témoignage au sein du magazine Elle, sur la thèmatique du sport après 40 ans, je me suis dit que j’allais partager quelques astuces avec vous. Le plus dur ce n’est pas de commencer, mais c’est de ne pas arrêter !
Comment ne pas lâcher son abonnement de sport au bout d’une semaine, un mois ?
Franchement, c’est le plus dur ! Les premiers jours, premières semaines on est motivé ! On fait le 1er pas de s’inscrire, de donner son RIB, de s’acheter des nouvelles baskets. Mais il suffit d’un élément pour ne pas y aller : le froid, la pluie, un retard de bus, la flemme. Pour ne pas lâcher vous pouvez faire plusieurs choses :
- Prendre un coach : les rendez-vous hebdomadaires vous permettront de vous y tenir
- Y aller avec une amie qui y va régulièrement
- Inscrire vos séances sur votre planning les jours où vous êtes le moins chargé
- Avoir un sac de sport dans l’entrée avec serviette, gourde, et kit de toilettes
- En parler à vos proches
- Visualiser, visualiser et visualiser : les changements dans votre corps, sur votre mental
Après chaque séance, il se passe plusieurs choses pour moi : un sentiment d’accomplissement (je l’ai fait !), un sentiment de bien-être et une bonne dose d’énergie. Je suis plus concentrée le reste de la journée.
Comment définir ses objectifs à la salle de sport ?
C’est le plus dur et ça fait partie de la motivation. Pour ma part, je n’avais plus de souffle depuis le COVID et je sentais mes muscles se relâcher. Cette vision dans le miroir et le fait de ne plus pouvoir monter 3 étages sans être essoufflée m’a motivé. Du coup, je savais que j’allais travailler le cardio et les muscles. Quand on commence à aller à la salle on veut des résultats rapides. Otez-vous cette idée de la tête. Prenez votre temps, mais faites le sérieusement. Définissez vos priorités et même le bloc corps qui vous embête le plus (si vous avez un objectif silouhette) et travaillez en ce sens. Sur chaque machine, vous devriez avoir une illustration des muscles qu’elle travaille. Prenez-les en photos et constituez-vous un programme de 4 à 5 machines, avec des séries (4 à 5) entre 11 et 12 répétitions et des petits poids pour commencer. Pour le cardio, tentez aussi 25 minutes (si tapis avec une légère inclinaison) et à votre niveau. Petit à petit, dès que ça devient plus facile, vous augmenterez poids et intensité. Je vous invite à noter vos progrès, machine et parcours pour visualiser tout ce que vous avez déjà réussi à faire. Et surtout, il n’y a pas de honte à demander si vous ne savez pas utiliser une machine, le personnel est là pour ça.
Ce que je change au quotidien ?
Forcément je bois beaucoup plus d’eau, je mange mieux (et plus tôt le soir), je mange plus et plus protéïné. Je prends plus soin de moi en général. Je suis plus organisé et au lieu d’arriver au travail à 9h, j’arrive à 9h45 voir 10h. Les jours où j’ai des rendez-vous je met mon caleçon de sport sous mon pantalon, des baskets qui font « vie de tous les jours » et « sport ». Des petits gestes qui me font gagner du temps et me permettent une meilleure organisation. C’est bête mais c’est un frein en moins pour y aller.
Que faire si je perds la motivation ?
Inscrivez-vous sur 2-3 comptes instagram de club ou de coach (qui font des exercices simples et sans transformation inaccessible). Forcez-vous à y aller – consultez vos agendas où vous avez inscrit vos séance. Je vous recommanderai aussi de prendre une salle proche des chez vous ! De porter des vêtements dans lesquels vous vous sentez bien. Vous pouvez aussi laisser un message par ici 🙂
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- 48Il y a peu de temps, j'ai reçu un diagnostic inattendu, et en même temps pas vraiment : l'endométriose et plus directement l'adénomyose. Je n'aurais jamais imaginé que quelque chose d'aussi complexe puisse affecter ma santé, mais en y réfléchissant c'est assez logique. Des douleurs à l'adolescence qui me bloquaient…
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