J’avais des tas de questions à lui poser. Des tas de choses à lui dire. Je voulais lui dire que vraiment, son histoire et son oeuvre avaient touché des tas de femmes, qu’écrire sur les femmes, le couple et les enfants avaient permis de mettre au grand jour la réalité. Je voulais lui dire que plus d’écrivains devaient faire comme elle. Mais, j’ai oublié mes questions. Le fil de la conversation s’est construit naturellement, et finalement c’était bien mieux comme ça. J’ai vu Eliette Abecassis plusieurs fois ces derniers mois à l’occasion de la sortie de son livre « Un secret du docteur Freud ».
« Vienne, mars 1938. Sigmund Freud a convoqué la Société psychanalytique pour une cession extraordinaire. Élèves et disciples sont réunis autour du maître qui s’exprime devant eux, peut-être pour la dernière fois. Il n’y a plus d’autre choix : il faut fuir l’Autriche.
Mais lui, pourquoi reste-t-il, malgré l’invasion des nazis ? Quel secret renferme la lettre retrouvée par son fils ? Comment Marie Bonaparte parviendra-t-elle à le convaincre de partir ? Qui est le mystérieux Anton Sauerwald ?
Aux heures les plus sombres de l’Histoire, ce roman passionnant offre une nouvelle vision du père de la psychanalyse. »
En lisant le synopsis, je me suis dit « Tiens, on s’éloigne des sujets habituels, je ne sais pas si je vais accrocher ». Et d’ailleurs, lors de la rencontre blogueurs que l’on a faite, c’est une question qu’on lui a posé.
Elle nous a expliqué que la psychanalise faisait partie de sa vie depuis toujours, de par le métier de sa mère. C’est un livre écrit un peu à quatre mains avec cette dernière par ailleurs. Eliette, elle-même, nous a indiqué en avoir fait une. C’est un univers qu’elle connaît, et avec l’aide de sa mère, elle a pu écrire, expliquer et décortiquer des théories.
En poursuivant ma lecture du livre, j’ai découvert énormément de chose sur certains principes de la psychanalise. On voit bien la volonté d’Eliette de nous expliquer quelques théories freudiennes, et elle y arrive plutôt bien. Mais outre ça, on apprend des élements insoupçonnés (pour moi), sur Sigmund Freud, sa relation avec ses enfants, ou encore Marie Bonaparte. Un retour dans un des moments les plus sombres de l’histoire, c’est sûre.
Pas une biographie, mais un roman, une vision personnelle des dialogues, toutefois des années de recherches derrière, font qu’il contient des tas de données, faits, chiffres qui ne sont que vérité.
La suite de ma rencontre avec Eliette Abecassis ne peut se résumer en quelques lignes… Mais nous avons abordé, la vie de famille, ses autres livres, les associations qu’elle soutient. C’est une femme engagée qui aime écrire sur ce qui l’inspire, et qui n’aime pas être rangée dans une case (et elle a raison).
Si je recommande le livre… Oui ! On en ressort avec quelques réflexions personnelles qui sont intéressantes à mener, une autre vision de l’histoire, et avec une vision plus concrète du docteur Freud, de son histoire et de ses théories.
Je vous propose de gagner un expemlaire du livre ! Il suffit juste de laisser un commentaire (tirage au sort le 30 octobre)
Chloé
octobre 22, 2014Je suis en plein de la lecture, et je suis complètement emballée! Eliette Abecassis fait partie de ces femmes que j’admire aujourd’hui, et en grande admiratrice, le livre ne pouvait pas mieux tomber!
Cette rencontre devait vraiment être très intéressante!
Bises.Chloé
Toshkova
octobre 22, 2014Bonjour et merci pour ce concours! Je participe avec plaisir. 🙂